studio Tyto Alba

Quand je suis arrivé à La Craba (en 2005), la maison n’avait pas été habitée par des humains depuis plusieurs décennies. Une chouette effraie y avait élu domicile. C’est pour la remercier d’avoir gardé les lieux, pour m’excuser de l’avoir délogée et par fascination pour ce rapace nocturne que j’ai baptisé le studio de son nom latin : Tyto Alba.

J’enregistre aussi d’autres musicien·ne·s, dans le studio ou ailleurs ; jusqu’ici dans des maisons, en plein air, dans des grottes ou des gouffres, des bergeries, des étables, des églises, des lavoirs, des bistrots, en pleine rue, sous des ponts, dans des ruines, dans des champs ou encore des carrières abandonnées – et j’en oublie sans doute.

Voici une grande partie de cette production :

2025 :

2023 :

2021 :

2020 :

2019 :

2018 :